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Bana Konesans

G
Jeunesse
Sarah-Akéli et Max poussent la porte de la cave de leur grand-mère et réveillent la magie d'objets venus d'Afrique. En famille, ils explorent leur héritage africain, apprennent l'histoire des Noirs du Canada et les enjeux de l'éducation antiraciste.

À propos de la saison 1

Information
Réalisateur
Alpha Nicky
Distribution des rôles
Yaovi Ganyo Hoyi, Maé Perras, Zayne Philip, Marie Rigaud
Langues
Audio
Français
Sous-titres
Français
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  +"longDescription": "BANA KONESANS, qui signifie « les enfants de la connaissance » en créole haïtien, est une série jeunesse afro francophone destinée aux enfants de 7 à 12 ans. Ancrée dans la francophonie ontarienne, elle explore l'héritage africain à travers les chamailleries de Sarah-Akéli (12 ans) et de son petit frère Max (9 ans), deux enfants malicieux qui découvrent un univers magique ancestral au coeur de leur quotidien.\rDans le mystérieux sous-sol de la maison de leur grand-mère Yolanda, dorment des dizaines d'artefacts africains ayant appartenu à leur défunt grand-père. Chaque épisode commence par une dispute ou une bêtise entre les deux enfants, qui amène l'un d'eux à manipuler un objet de la cave, lequel s'illumine alors d'une étrange lueur rose. Un(e) adulte de la maison, leur père Kéfane ou sa mère Yolanda, l'y rejoint, bientôt suivi(e) du reste de la maisonnée qui vient écouter attentivement l'histoire dudit objet. C'est le point de départ d'un récit, sous forme d'une animation de collages, qui plonge les enfants dans la richesse des traditions africaines.\rLes objets dans la cave de grand-mère Yolanda révèlent, épisode après épisode, des fragments de l'histoire des Noirs : la signification des masques d'Afrique de l'Ouest, l'origine d'instruments de musique africains, la transmission orale, la lutte contre le racisme et les mouvements de résistance et de libération des peuples Noirs, la déportation des peuples réduits en esclavage, ou encore les figures afro-canadiennes marquantes comme Viola Desmond. Ces moments deviennent l'occasion d'une transmission orale vivante, sans jamais quitter l'espace rassurant de la maison.\rMax, vif et drôle, porte souvent sa cape rouge et se transforme en "Maximum", son alter ego théâtral. Sarah-Akéli, plus réservée et connectée à son téléphone, incarne une sensibilité plus intériorisée. Ensemble, les deux petits curieux donnent vie à une dynamique fraternelle pleine d'amour, de défis et de complicité. Les adultes, parfois dépassés, sont pourtant porteurs d'une transmission culturelle qui prend tout son sens à travers les objets.\rAvec ses épisodes courts, ses personnages attachants et ses animations ludiques, BANA KONESANS est une série éducative pour enfants qui aborde les grandes questions de l'éducation antiraciste de manière accessible. Elle met en valeur la représentation des Noirs du Canada dans une fiction jeunesse francophone chaleureuse et contemporaine. Elle célèbre la culture africaine dans toute sa diversité, et offre aux jeunes téléspectateurs l'occasion de mieux comprendre leurs propres racines, ou celles de leurs camarades de classe.\rConçue dans une optique d'inclusion, la série contribue à renforcer la présence d'histoires afrocentrées dans les médias jeunesse francophones au Canada. À la fois drôle, émotive et porteuse de sens, elle s'adresse autant aux enfants qu'aux familles et aux éducateurs qui souhaitent ouvrir des dialogues autour de l'histoire, de l'identité Noire, et de la solidarité familiale. "
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          +"longDescription": "Alors que leur grand-mère Yolanda fait la sieste dans sa chambre et que leur père Kéfane est absorbé par sa tablette au salon, Max taquine sa grande soeur Sarah-Akéli, qui prend des selfies. Agacée, elle lui propose de jouer à "Truth ou Dare". À sa surprise, il accepte et choisit "Dare". Elle le met alors au défi d'ouvrir la porte du sous-sol, un endroit strictement interdit. Max hésite, inquiet de la réaction de Mamie Yo, mais finit par céder en précisant qu'il dira que c'est elle qui l'a forcé si jamais ils ont des ennuis.\rLes deux enfants descendent alors dans la caverne magique - comme leur père l'appelait autrefois - un sous-sol mystérieux qui regorge d'objets anciens. Max trébuche en chemin, ce qui attire l'attention de Kéfane. Une fois sur place, les enfants découvrent une série de masques africains entreposés sur des étagères. L'un d'eux se met à briller d'une lumière rose, et Max se le coince sur le visage. Leur père les rejoint, l'aide à retirer le masque, et confie que le même incident lui était arrivé étant enfant. Pour lui, cet endroit n'a jamais été une simple cave, mais un lieu d'émerveillement et de transmission. C'est ici que son propre père lui enseignait l'histoire de leur héritage congolais, ajoutant que "la curiosité est la mèche de la chandelle du savoir".\rSoucieux de partager cette culture africaine avec ses enfants, Kéfane utilise son téléphone pour faire une recherche en ligne et leur lit une définition expliquant la fonction spirituelle des masques dans plusieurs sociétés d'Afrique de l'Ouest et d'Afrique centrale.\rC'est alors que Yolanda, la grand-mère, les interrompt. D'un ton réprobateur, elle rappelle à son fils que ce lieu est sacré : c'est là que réside l'esprit de Célestius, le grand-père décédé, gardien de la mémoire familiale. Elle insiste sur l'importance du respect dans cette transmission familiale afrodescendante. Elle saisit un masque, s'assoit, et invite la famille à y poser la main. Ce geste déclenche une animation pédagogique : les enfants découvrent les rôles des masques africains dans les rituels, les notions du ka, du ba et du khat, et la manière dont ces objets sacrés servent à relier le visible à l'invisible.\rTouché, Kéfane le père ne comprend pas pourquoi toutes ces richesses sont cachées là, à un endroit où la maison ne peut pas en profiter. Il a une idée et propose de créer un nouveau masque qui leur permettra de laisser les autres dans la cave, en hommage à leur héritage africain. Il explique aux enfants les techniques artisanales traditionnelles : les formes géométriques, les matières naturelles, et leur symbolique. Ensemble, ils créent un masque africain unique, en puisant dans leur créativité et dans les histoires transmises par leurs aînés.\rAlors qu'ils terminent la confection de leur chef-d'oeuvre, le téléphone de Kéfane sonne : c'est Béa, la maman des enfants, qui félicite la famille pour la beauté du masque et demande si elle passe les chercher ou si Kéfane les lui ramène. Le père des enfants propose de les raccompagner après le souper. Une fois l'appel terminé, Kéfane rejoint sa mère en cuisine. Il lui demande, dans un mélange de lingala (la langue de son défunt père) et de créole haïtien (celle de sa mère Mamie Yo) de fermer les yeux et de le suivre. Il la guide jusqu'au salon pour lui révéler la surprise que les enfants et lui lui ont préparée : le nouveau masque qu'ils viennent de fabriquer ensemble, destiné à veiller sur la maisonnée et sur l'esprit de leur grand-père. Ils décident de l'accrocher à la porte de la caverne magique."
          +"description": "Quand les enfants bravent l'interdiction d'entrer dans la cave de Mamie Yo, ils découvrent d'anciens masques africains et, avec leur père et leur grand-mère, l'origine ancestrale, le sens spirituel et la fabrication traditionnelle des masques en Afrique."
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          +"longDescription": "Sarah-Akéli est absorbée dans ses pensées quand son frère Max tente de la faire sursauter en rugissant derrière elle. Il lui demande en riant si elle entend des voix, ce à quoi elle répond qu'elle entend plutôt de la musique. Il la taquine, incrédule. Elle l'emmène au sous-sol pour lui prouver qu'elle dit vrai. Arrivés dans la cave, les deux enfants se retrouvent devant une kora silencieuse. Max la déclare officiellement "zinzin", et Sarah-Akéli finit par admettre que la musique devait sans doute venir des voisins. Max a déjà quitté la cave quand elle entend de nouveau une note. La musique s'interrompt aussitôt.\rPlus tard, alors qu'elle pianote sur son téléphone à table, sa grand-mère lui rappelle qu'à table, on dépose son appareil. Sarah-Akéli s'exécute... avant de le reprendre discrètement. Lorsque Mamie Yo la surprend, elle lui confisque l'objet malgré les excuses de la fillette. Sarah-Akéli implore son père d'intervenir, mais celui-ci décline. Max s'en amuse!\rPrivée de son téléphone, Sarah-Akéli s'ennuie ferme. Max la nargue avec un dessin de super-héros, affirmant qu'il ne se fait jamais punir. Vu que Mamie Yo ne répond pas quand elle l'appelle, Sara-Akéli a l'idée de retourner à la cave. Elle y renverse une boîte de jeu et trouve la kora de nouveau illuminée, puis une flûte peule qui brille aussi. Elle la saisit et quitte la cave en la dissimulant dans son dos.\rElle rejoint Max dans sa chambre et lui annonce avoir trouvé une première mission pour Maximum. Il ne la croit pas. Elle lui montre alors la flûte peule et lui dit que c'est un bâton magique venu de la caverne de Baba et Mama. Intrigué, Max tente de l'attraper, mais elle pose ses conditions : récupérer son téléphone dans la chambre de Mamie Yo. Seul Maximum en serait capable. Max, flatté, accepte. Il commence à jouer de la flûte, ce qui attire leur grand-mère.\rMamie Yo récupère l'instrument et redescend au sous-sol, suivie de ses petits-enfants. La kora s'illumine et se met à jouer. Max, impressionné, demande ce qu'est cet instrument. La grand-mère le rabroue, mais une bougie devant le portrait de Papi Célestius s'allume. Sarah-Akéli insiste pour en savoir plus. Mamie Yo finit par céder, s'assoit et commence à jouer de la kora, expliquant que c'est une harpe-luth, décrivant ses éléments : chevalet, cordier, caisse de résonance, cordes... Leur père, Kéfane, les rejoint discrètement, ému.\rSarah-Akéli demande si la kora appartenait à son grand-père. Mamie Yo dit que non, c'était sa trouvaille. Kéfane conteste : il se souvient que ses parents l'avaient achetée dans une vente de garage. Max, confus, demande quel garagiste canadien a tué une vache pour faire cet instrument. Kéfane explique que la kora vient d'Afrique de l'Ouest et que son origine reste mystérieuse.\rToute la famille pose une main sur la kora, ce qui déclenche une animation racontant la légende de son apparition dans l'Empire du Mali, aussi appelé empire mandingue. L'histoire, transmise par des griots africains, évoque Jadi Madi Wuleng, qui aurait volé la kora à une femme djinn. On découvre aussi d'autres instruments africains comme le balafon et la flûte peule, rappelant combien musique, chant et danse sont au coeur de la culture africaine.\rSarah-Akéli demande à Max de danser, mais il s'est endormi! Kéfane annonce qu'il est temps qu'il les ramène, mais Sarah-Akéli supplie Mamie Yo de jouer un dernier morceau. La grand-mère lui dit que ces sonorités sont présentes dans le jazz, le blues ou encore la musique afro-cubaine. Kéfane suggère de jouer celle que Papi Célestius aimait. Sarah-Akéli propose de la filmer. Mamie Yo, piégée, rit et lui rend son téléphone. Elle joue pendant que Max danse. Une bougie s'illumine à nouveau.\rLa famille se met à danser ensemble, au rythme de la musique traditionnelle mandingue."
          +"description": "Privée de téléphone, Sarah-Akéli croit avoir des hallucinations quand elle entend de la musique de la cave. Toute la famille apprend alors l'histoire de la kora, d'autres instruments de musique africains, et le rôle des griots dans la transmission orale."
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          +"longDescription": "Max s'amuse seul dans la cave avec le jeu de société Les Secrets de l'histoire. Quand son père lui crie du salon de penser à éteindre la lumière, il répond que Maximum a une mémoire infinie. Les cartes s'illuminent d'une lueur mystique rose. Max, comme possédé, saisit une carte et récite à toute vitesse l'histoire de l'île de Gorée et de la déportation des Africains. Sarah-Akéli descend le rejoindre et tente de l'interrompre. Il reste imperturbable, les yeux dans le vide. C'est quand elle agite une main devant ses yeux qu'il revient à lui comme si de rien n'était.\rDans l'avant-cour, Sarah-Akéli filme Max sur un vélo. Elle le pousse. Il s'écrase hors champ, se heurte la cheville et brise un pot de fleurs de Mamie Yo. Max se plaint. Sarah l'oblige à se taire par un pacte de salive. Il accepte à contrecoeur.\rAprès le dîner, alors que Max débarrasse la table, Mamie Yo propose un jeu éducatif. Sarah-Akéli en a assez de cette tradition du vendredi et préférerait aller au ciné. Mamie Yo rétorque que ce jeu est spécial. Kéfane remarque que Max boite, mais l'enfant, sous le regard menaçant de sa soeur, assure qu'il va bien.\rMamie Yo pose Les Secrets de l'histoire sur la table. Max est excité, sa soeur méfiante: la dernière fois, il avait été "possédé". La partie commence. Mamie Yo distribue les cartes. Les questions portent sur Christophe Colomb, la traite transatlantique, etc. Max répond juste à toutes les questions, Sarah-Akéli à aucune. Grand vainqueur de la partie, Maximum jubile. Agacée, sa soeur lui ordonne de lui apporter une banane. Il obéit, ce qui éveille de nouveau les soupçons de Kéfane. Il dit à sa fille de ne pas être mauvaise perdante. Elle rouspète qu'elle n'a rien appris de tout ça à l'école.\rMamie Yo révèle que ce jeu éducatif a été conçu par leur grand-père avec son association Africains et Afrodescendants d'Amérique du Nord. Elle leur propose d'en apprendre plus sur leur héritage africain. Tous posent une main sur la pile de cartes qui s'illumine. Une séquence immersive commence: animations, archives et voix off racontent la colonisation des Amériques, l'esclavage, la déportation massive des Africains de l'Ouest, et leur exploitation dans les plantations.\rLes enfants découvrent le commerce triangulaire: troc d'Africains contre armes ou textile, en échange de sucre et tabac. Des cartes animées montrent les ports de la traite transatlantique comme Gorée et la Côte de l'Or. Le passé esclavagiste du Canada est évoqué, ainsi que la résistance d'Haïti, première République Noire indépendante.\rLe récit met en lumière des figures de la diaspora Noire, comme Zanana Akande, première femme Noire élue à l'assemblée législative de l'Ontario, ou Jully Black, qui a modifié l'hymne national pour reconnaître les Premières Nations. \rDe retour à la réalité, Max grimace en se massant la cheville. Kéfane s'inquiète. Sarah-Akéli change de sujet et demande si on possédait des esclaves dans la famille de sa mère. La question horripile Max qui lui lance une banane au visage! Kéfane est outré par ce geste, mais Sarah-Akéli insiste que ce n'est rien. Mamie Yo répond à sa question : on dit plutôt personnes réduites en esclavage. Elles appartenaient à des esclavagistes. Elle la rassure qu'il n'y en a pas dans leur lignée maternelle, mais que la question est pertinente. Certaines époques ont toléré des préjugés, sur la race ou la sexualité, ce qui donne naissance aux micro-agressions.\rSarah-Akéli raconte son expérience de micro-agression sur ses cheveux à l'école. Mamie Yo explique que c'est une forme de racisme ordinaire qu'il faut apprendre à reconnaître. Max râle. Sarah-Akéli avoue¿: elle l'a poussé quand il pédalait, brisant un pot. Pour la punir, Mamie Yo lui confisque son téléphone. Max confesse sa part de responsabilité. Il est lui aussi puni : privé de dessert. Les deux enfants se tapent dans la main, compagnons de galère!"
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          +"longDescription": "Max taquine sa soeur Sarah-Akéli qui papote au téléphone. Quand elle raccroche, il lui demande avec qui elle parlait. Elle refuse de répondre, mais il devine que c'est la nouvelle fille de sa classe. À son air gêné, il en conclut qu'elle est amoureuse et la taquine de plus belle! Pour changer de sujet, Sarah-Akéli lui propose de tourner une vidéo Tik Tok afro, prétexte à une séance de danse dans le salon.\rElle s'absente un instant et ordonne à Max de ne toucher à rien. Mais son téléphone vibre. À pas de loup, Max s'approche¿: "Honey Boo" s'affiche à l'écran. Max sourit.\rPlus tard, alors qu'il joue avec ses figurines, le téléphone de sa soeur vibre encore. C'est leur père Kéfane qui appelle pour rappeler à Sarah-Akéli d'aider Mamie Yo au ménage. Par-dessus leur conversation, Max s'écrie que Sarah-Akéli a une amoureuse secrète appelée Honey Boo. Kéfane n'a pas l'air d'avoir entendu l'information.\rUne fois qu'ils ont raccroché, les enfants installent le téléphone et lancent la musique pour enregistrer une vidéo de danse Tik Tok. Mamie Yo les interrompt¿: ce n'est pas parce que c'est une journée pédagogique qu'ils vont la passer à danser. Sarah-Akéli réplique que c'est un devoir pour le cours de gym à téléverser sur Teams. Mamie Yo n'en croit pas un mot, mais Max surenchérit¿: lui aussi utilise Teams en cours. Perdue, Mamie Yo soupire et retourne dans la cuisine après leur avoir demandé de venir l'aider quand ils auront fini.\rLes enfants se remettent à danser, mais Max s'arrête net¿: il sent qu'il leur manque quelque chose, mais quoi? Ah oui! Un chapeau! Sur la pointe des pieds, il descend en chercher un dans la cave. Là, un billet de 10 $ encadré et accroché à un mur s'illumine de rose, ainsi qu'une vieille radio qui grésille très fort. Effrayé, Max s'enfuit. Une chanson de Manu Dibango s'est déclenchée¿: "Soul Makossa".\rMamie Yo descend éteindre la radio, suivie de ses petits-enfants. Max lui demande pardon, il ne sait pas comment il a réussi à allumer la radio sans y toucher, mais sa grand-mère lui répond que c'est Papi Célestius¿ qui l'a allumée pour lui rappeler que c'est leur anniversaire de mariage. Il adorait cette radio, qu'il avait surnommée Elikia - "espoir" en lingala. Max demande pourquoi un billet encadré¿? Mamie Yo répond : "¿Il avait bon espoir qu'un jour le monde devienne meilleur.¿" Tous dansent sur "Soul Makossa", morceau que Papi affectionnait.\rTous les trois posent une main sur la radio qui s'illumine de rose, et la voix de Papi Célestius leur raconte que la musique populaire d'aujourd'hui est née d'un mariage entre musique occidentale et les chants ancestraux africains apportés en Amérique par les Africains déportés pendant la traite transatlantique. Le métissage de ces cultures a donné des styles de musique tels que la bachata, la salsa, la rumba, le reggae, la samba, ou encore le jazz, le blues et le hip-hop. Papy Celestius évoque aussi les Black Panthers, qui se reconnectaient à leur culture africaine à travers la chanson "Soul Makossa", et le rôle pionnier de Manu Dibango, dont le morceau a été repris plus de 125 fois par des artistes comme Will Smith, Rihanna ou Michael Jackson. Il précise que Manu Dibango a poursuivi Michael Jackson pour plagiat et que c'est le lot de plusieurs artistes d'Afrique : être des sources d'inspiration incontournables, mais n'en tirer aucun bénéfice. \rLe téléphone vibre. Sarah-Akéli s'éloigne. Max chuchote à sa grand-mère que sa soeur a une amoureuse. Mamie Yo hoche la tête. Sarah peut tout lui dire. Moment de transmission intergénérationnelle, plein de tendresse. Elles discutent.\rDe retour dans la cuisine, Max et Sarah-Akéli dansent pendant que Mamie Yo les filme. Leur père rentre du travail et entre dans la danse.\rPeu après, Sarah-Akéli découvre que la vidéo est virale. Max mentionne une fois de plus Honey Boo. Sous le sourire encourageant de sa grand-mère, Sarah crache le morceau: elle s'appelle Éléonore. Kéfane accueille la nouvelle."
          +"description": "En trouvant la radio ayant appartenu à leur grand-père, Sarah-Akéli et Max découvrent les racines africaines des musiques modernes (jazz, hip-hop, leurs refrains TikTok) et le plagiat subi par les musiciens africains à l'instar de Manu Dibango."
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          +"longDescription": "Pendant que Max joue à sa console, Sarah-Akéli la lui arrache des mains et il perd sa partie. Frustré de ne plus avoir de crédit, Max enfile sa cape rouge et revient sous son alter ego, Maximum, pour lui confier une mission : aller chercher de l'argent sur la table de chevet de leur grand-mère. La fillette hésite, consciente qu'ils pourraient se faire prendre et avoir des ennuis...\rMais Maximum insiste, lui rappelant que sans argent, pas de console. Sarah-Akéli finit par accepter d'y aller, à condition que Max l'accompagne. Il refuse, lui transmet symboliquement ses pouvoirs de super-héros et l'incite à y aller seule. Elle finit par céder quand il la provoque : « T'as peur de perdre contre moi? J'en étais sûr! »\rMax fait diversion pendant que sa soeur entre discrètement dans la chambre de Mamie Yo. Celle-ci garde les yeux fermés pour faire croire qu'elle dort. Sarah-Akéli prend un billet de 10 $ et un de 5 $, puis s'enfuit. Au salon, les enfants réalisent qu'il leur manque encore 10 $ pour acheter leur recharge. Max pense à un billet de 10 $ à l'effigie de Viola Desmond, encadré dans le sous-sol. Il envoie Sarah-Akéli en mission. Elle a peur de cette cave pleine de mystères, mais accepte à contrecoeur.\rAlors qu'ils s'apprêtent à sortir avec l'argent, ils croisent leur père, Kefane, qui remarque le billet dans la main de Sarah-Akéli. Max rejette spontanément la faute sur sa grande soeur. Kéfane, d'abord en colère, leur rappelle que leur mère et lui les ont élevés avec des valeurs, avant de se calmer pour leur expliquer l'importance de respecter ce qui ne leur appartient pas.\rSarah-Akéli va rendre l'argent à sa grand-mère. Bouleversée, elle s'excuse. Mamie Yo, bien que déçue, l'enlace avec tendresse et lui rappelle qu'il faut que jeunesse se passe, elle apprendra de ses erreurs. Les deux regagnent le salon, tout sourire, bras dessus, bras dessous, et retrouvent Max et Kéfane penauds. Kéfane s'excuse au nom des enfants. Mamie Yo dit qu'elle a récupéré ses 15$. Kéfane est surpris : il n'était au courant que des 10$ volés dans la cave. Max avoue qu'ils avaient besoin de 25$ au total. Mamie Yo comprend alors que Max est aussi impliqué. \rKéfane leur demande s'ils savent qui est Viola Desmond. Il leur raconte son histoire, qu'il a découverte dans un livre sur les Afrodescendants d'Amérique du Nord. En posant la main sur le billet à l'effigie de Desmond, toute la famille déclenche une animation qui retrace son histoire : arrêtée dans les années 1940 pour avoir refusé de quitter une section de cinéma réservée aux Blancs, elle fut condamnée et jetée en prison sous un prétexte fiscal douteux - une injustice flagrante révélatrice de la discrimination raciale de l'époque.\rLes enfants apprennent ce qu'est la discrimination raciale. Sarah-Akéli imagine qu'à l'époque, Beyoncé n'aurait pas pu s'asseoir où elle veut au cinéma. Et qu'eux non plus n'auraient pas eu le droit de s'asseoir à côté de leur mère, qui est blanche. Mamie Yo enchaîne en nommant d'autres figures Noires canadiennes inspirantes : Anderson Ruffin-Abbott, Marie-Ann Shadd-Cary, Portia White. Kéfane ajoute que même Jerry Lawson, un pionnier du jeu vidéo, était Noir.\rPlus tard, pendant que leur mère prend le thé avec Mamie Yo, les enfants descendent au salon avec leur père. Mamie Yo leur demande s'ils ont déjà vécu ce genre de chose. Ils évoquent des micro-agressions racistes à l'école et comment Sarah-Akéli a usé de la violence pour défendre son frère. Leurs parents leur rappellent que la violence, verbale ou physique, ne mène à rien.\rMax prend un moment pour affirmer fièrement et solennellement leur identité plurielle : ils sont Canadiens, avec des racines en Ontario, au Congo, en Haïti... et même dans le pays des super-héros et super-héroïnes. Il sort sa cape et anoblit sa soeur du nom de Minimum. Elle préfère Extremum. Les deux enfants décident de faire la course jusqu'au grenier, et si Sarah-Akéli gagne, elle choisira son nom. "
          +"description": "Max et Sarah-Akéli volent 25 $ à leur famille. Leur faute dévoile l'histoire de Viola¿Desmond, pionnière des droits civils, et pousse la famille à parler de racisme, d'héritage afro-canadien, et d'éducation au respect, à l'unité et au pardon."
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